Quand on ne sait pas qui on est, on est ravi qu’une dictature vous prenne en charge.
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« Entretien avec Boris Cyrulnik : « il y a une vie après l’horreur » », Sophie Boukhari (journaliste), Boris Cyrulnik, Le courrier de l'UNESCO (ISSN 0304-3118), novembre 2001, p. N/A : en ligne
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